je m'attends à une volée de bois vert a cause de la longueur du texte ensuite,
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voilà donc le corps du délit ...simple souvenir érotique. Dans cette ,armoire très ancienne, j’ai découvert une relique, un journal intime égaré , dans cet immense fouillis mémoriel .
Mon plus beau des cadeaux danniversaire...Chère Martha !!
Elle! venait de façon régulière effectué des petits travaux de couture pour ma grand-mère. Martha! était son prénom , et slave affirmait mon aïeule . La trentaine épanouie, rayonnante,une longue chevelure couleur de miel de châtaigniers ,un corps qui aurait soutenu , sans complexe la comparaison avec les sculptures du grand Aristide Maillol . Guettant sa venue comme on espère le soleil après les frimas, sans compter les nuits peuplées de son image chaleureuse, dans laquelle je me réfugiais sans retenue.
Elle assise sur une chaise, son ouvrage posé sur la grande table de la salle à manger, silencieuse absorbée par son travail.
Moi assis face à Elle dans le vieux fauteuil de cuir fatigué, et pour donner le change simulant une activité, consistant à trier des mensuels d’arts et d’histoires , la caressant du regard , le cœur au bord des lèvres.
Elle s’agita sur son siège, gênée sans doute par l’insistance de mon regard , alors pourquoi me souriait-elle ?
Intimidé je baissais les yeux et je découvris le pourquoi de son sourire, même dans mes rêves les plus osés rien ne m’avais préparé a ce qui allait se produire. J’ignore le temps que je mis a retrouver mon souffle, surpris par ce que mes yeux ébahis admirais.
Les talons posés sur les barreaux à gauche et à droite de la chaise, Elle me donnait à voir le magnifique galbe de ses cuisses, ainsi qu’une jolie petite culotte bleue, moulant à la perfection ce trésor que seuls mes rêves avaient imaginés.
Je maudissais cette timidité qui me paralysais,à cet instant précis.
Alors que j’adressais à mon égo toute une litanie de qualificatifs forts peu aimables , Martha venait de quitter sa place et se dirigeait en direction de la porte, donnant accés au hall d’entrée.
Pourquoi ne suis-je pas tomber foudroyé pour me punir de mon manque de courage? il y aurait-il une autre fois seulement?
Doucement les larmes envahirent mes yeux et le désespoir me noua la gorge ,cependant il me restait un petit espoir ténu certes ,
mais je m’y accrochais Elle était encore dans la maison, la porte d’entrée n’avait pas fait entendre son désagréable grincement a l’ouverture .
Mon cœur ayant reprit son rythme normal j’accordais plus d’attention aux bruits ambiants de la maison , je
cessais un instant de respirer ,des bruits connus de pas se faisaient entendre dans l’escalier descendant de l’étage.
Elle reprit sa place sur sa chaise, plus souriante qu’auparavant les yeux brillants d‘un éclat malicieux ,je fis un effort pour masquer le trouble et la chaleur que sa présence me procurait.
Je ne laisserais pas cette fois la timidité s’imposer,
Elle ne me l’aurait jamais pardonné ! Impardonnable je serais devenu, avec la honte en plus!
Je n’avais pas le droit, ni l’envie de refuser une pareille invitation
Comment l’interpréter autrement, l’abandon de sa petite culotte bleue en témoignait.
Je passais donc sous la table pour me retrouver, au pied de la chaise le visage face à cet attribut féminin qui faisait que mon sang, s’affolait dans mes veines ,posant sa main sur ma nuque? Elle m’attira plus avant entre ses cuisses je résistais pourtant.
Ce que mes yeux contemplais de si près, n’était pas ce que je pensais connaître? Ces deux lèvres humides et gonflées par
L’afflux sanguin était comme un appel aux baisers ,mais nulle trace de ce fameux système pileux vanté par certains.
Il me fallait agir ,et ne pas laisser le doute gagner la partie, c’est sans retenues que mes lèvres couvrirent les siennes les explorants
Timidement , amoureusement, puis goulûment , soudain conscient que Martha !murmurait des choses ignorées de moi , serrant ses cuisses de façons spasmodiques comme pour m’entraîner plus loin dans le monde inconnu au delà de ces lèvres aux effluves envoûtantes . N’espèrer pas de moi que j’aille plus loin ne serait-ce que parrespect pour ce qu’Elle m’enseigna , et me fit connaître et découvrir des femmes bien des choses .
Malgré le temps qui passe , et passera ,c’est sans regrets , que tu restes et resterasChère Martha!! mon plus beau cadeau d’anniversaire et mon plus doux souvenir.
Tu avais trente et un ans , je venais d’atteindre ma dix-septième année,une semaine plus tôt.
J’ignore encore à ce jour , pourquoi et cela jusqu’à mon mariage: se furent des femmes mures ,célibataires , veuves, divorcées parfois mariées qui m’offraient asile dans leur chaud et accueillant petit intérieur .
Un vrai mystère ! Je disposais d’un avantage certain, de part mon métier, futur artisan peintre qui me donnait accès à toutes les couches de la société. Quelle était cette chose?? qui les poussaient à me donner plus que je n’osais espérer , aucune certitude . Bien élevé attentionné, quelque peu timide ,d’humeur égale , souriant. Respectant sans faillir les trois principes immuables de l’éthique du métier :que résumait ainsi mon grand- père et professeur:
Quel que soit le client ,une fois la porte d’entrée franchie :
Tu entends tout,sans le montrer! Tu vois tout, sans regarder, et n’oublie jamais l’essentiel: tu fermes ta gueule !! Plus explicite Y a pas !!
Sachant les femmes plus réceptives et sensibles , peut-être percevaient-elles mon besoin de tendresse, d’affection . Me plaindre de ses bonnes fortunes , serait vraiment ignoble de ma part.
Les Parques allaient me le faire payer cher! Encore maintenant! d’avoir confondu Le s*** et les sentiments ! Qui ai-je offensé depuis ma naissance pour mériter pareille malédiction ? Bien sur ceci est une autre histoire!
M'est avis qu'en matière d'éducation sexuelle rien ne vaut la pratique" in vivo" les détracteurs féminins ou masculins , sont priés de s'inscrire et faire la queue! comme à la poste et comme tout le monde !!!!