Il y a 3 ans de cela j'ai sympathisé avec une
voisine, tout allait bien, sauf que je la ressentais parfois rebelle, avec un comportement changeant, ne supportant pas ma fille capricieuse au point de la traiter de"sale gosse", je me suis donc éloignée, petit à petit avec tact...Bonjour, bonsoir ; cette personne "Fonctionnaire", est en arêt de maladie et suivie par un Psychiatre, mensuellement à cette période ; je ne juge pas. Ces réactions restent vivent et cherche les altercations..Je ne réagis pas. Jusqu'au jour , fin août 2007, vers 21 h 30 , je constate avec mon compagnon qu'il y a une fuite conséquente d'eau dans la maison. On appelle le service dépannage d'urgence des Eaux, l'eau, nous devons prévenir nos autres voisins qu'on doit couper l'eau à mi-chemin, ma "voisine" avec qui j'ai coupé les ponts, nous interceptent verbalement, elle est dans sa cour, parle au Monsieur de " l'eau ", je reste muette, Là, elle sort de sa cour, commence à m'injurier, me traitant de tous les noms les plus vulgaires et grossiers qui existent, le technicien regarde ! la voisine que l'on devait prévenir sort de chez elle, est en spectatrice !, mon compagnon et moi même restons de marbre et nous ne répondons pas à cette vulgarité, elle tombe dans la violence verbale, me jugeant de "trainée", que je sors avec un "mec" qui doit retourner dans son "bled", car il est plus jeune que moi, il est français, et combien même si c'était le cas contraire. Elle pestifère, veut pour nous faire rompre, atteint notre vie privée et notre statut social, nous restons toujours sans réaction, elle attend qu'une chose c'est que nous répondions...ce qui la rend de plus en plus furieuse ; Voyant que nous ne rétorquons, ELLE SE JETTE SUR MOI , comme elle fume : ELLE PREND SA CIGARETTE A MOITIE CONSUMMEE ET ME L'ECRASE AU NIVEAU DU COU SUR LA CICATRICE DE MA THYROïDE, LA DOULEUR ME PARALYSE, INERTE, SANS BOUGER SANS VOIX LA CIGARETTE QUI CONTINUE DE BRÛLER , L'ODEUR me pétrifie... comme une statue, bloquée, Le compagnon de mon "agresseuse" lui dit bien qu'elle à fait une grosse "C - - - - - -. JE PLEURE DE DOULEUR, MEDECIN DE GARDE, DEPÔT DE PLAINTE, AVOCAT, CONVOCATION GENDARMERIE POUR L'AGENT DE L'EAU qui voulait passer incognito, je rencontre mon avocat que début octobre, LE PROCES A LIEU DEBUT DECEMBRE 2008 en partie civile pour moi, l'agresseur vivant à 100 mètres à peine continue à provoquer, au point que j'ai du renouveler une seconde plainte, je garde toujours le contrôle et me tais. Donc il y a bien COUPS ET BLESSURES VOLONTAIRES AVEC INTENTION DE LES DONNER : QUE RISQUE T-ELLE COMME PEINE (sans oublier son profil psychologique),Elle a également griffée mon compagnon ; je n'ai pas eu ITT je n'ai pas voulu j 'avais trop honte, étant demandeur d'emploi, cela aurait probablement modifié mes droits, et se présenter comme ça pour du travail ! avec des soins douloureux pendant un mois et une trace de brulûre de cigarette indélébile, elle est omniprésente, je la voit cette marque tous les jours et le reflet du miroir me rappelle ce tragique et inoubliable moment de ma vie. QUE PUIS-JE DEMANDER COMME DOMMAGE ET INTÊRET, QUELLE PEINE ENCOURT-ELLE ? Peut-elle est relaxée ? Je suis impatiente que JUSTICE ME SOIT RENDUE.